samedi 31 juillet 2010

Les Pyrénées: St Girons Mijanès

Nous n'avions pas droit à la connexion wi-fi hier à Mijanès. Donc vous aurez droit aujourd'hui aux deux résumés des étapes.
Nous quittons St Girons, comme d'habitude, après le petit-déjeuner pour une grosse journée mais nous commençons à prendre l'habitude. Après quelques kilomètres à allure soutenue et sous la conduite de Jérôme, nous attaquons le col de Caougnous et dans la foulée le col de Port. Ces deux cols s'enchaînent sur une distance totale de 12,8km avec des pourcentages peu élevés pour le premier et un peu plus élevés pour le second mais somme toute rien de comparable à ce que nous avons déjà connu. De 3% en moyenne pour le premier à 4,7% pour le second avec des max ne dépassant pas 6,5%.

Voilà les deux sommets









Nous prenons notre pique-nique dans la descente à environ 3 kilomètres en prévision de la grande ascension du jour: le col de Pailhères culminant à 2001m d'altitude avec un pourcentage moyen de 8,1% et des maximums annoncés de 10% mais mon Polar a indiqué des 13% pas long mais à franchir quand même. Les 14,9 Km nous paraissent longs et la fin particulièrement dure. Ajoutez à cela qu'il faut slalomer entre les vaches en liberté totale pour avoir une idée de la difficulté. Pour ma part, j'étais tout heureux d'atteindre le sommet. Cette fois le spectacle était grandiose et nous pouvons retrouver les grands espaces alpins avec en plus de la verdure. 
Le col de Pailhères est passé dans l'histoire du tour de France. C'est dans ce col qu'Andy Schleck a perdu le tour lorsqu'il a déraillé et laissé ainsi partir Contador. 
 


La descente est fort sinueuse mais nous arrêtons pour la nuit à Mijanès qui se trouve encore à 1000m d'altitude.

jeudi 29 juillet 2010

Les Pyrénées: Bagnères de Luchon - St Girons

Au programme de ce jour, nous ferons deux cols qui font partie de l'histoire du tour de France: le col de Menté(1349 m) et le col du Portet d'Aspet (1069 m). 
Après 15 km de plat, passé le petit village de St Béat, centre de sculpture de marbre,nous attaquons le col de Menté (10,9 Km avec un pourcentage moyen de 6,6% et un max de 11,4 et un dénivelé de 716m). Le décor est encore très encaissé sans aucune vision sur les montagnes qui nous environnent. Rien à voir avec les vastes espaces que nous offrent les Alpes. Rarement sur la route, nous rencontrons des sites remarquables sauf quelques petits villages très éparpillés sur le parcours. La plupart du temps, la route principale passe en dehors des centres.

St Béat

Les lacets se suivent et 'est au détour de l'un d'eux que nous découvrons l'endroit où Luis Ocana porteur du maillot jaune perdit le tour de France 1971 suite à une chute.
Suite à un orage violent, la route était recouverte de boue. Luis Ocana et Eddy Merckx abordèrent côte à côte ce virage. Eddy fut déséquilibré tandis que Luis cognait lourdement le rocher. C'était le 12 juillet 1971.




Nous arrivons au-dessus du col et après une petite collation, nous entamons la descente pour rejoindre le col du Portet d'Aspet. Là où nous le reprenons, nous ne sommes plus qu'à 5 km du sommet mais nous attaquons directement la partie la plus dure soit un pourcentage qui oscille entre 9 et 13% alors que la moyenne totale sur 14 km ne se chiffre qu'à 4%. 
A quelques centaines de mètres juste au premier virage de l'ascension, nous nous arrêtons devant la stèle dédiée à Fabio Casartelli.

Le 18 juillet 1995, dans le tour de France, Fabio Casartelli, coureur italien, fit une chute mortelle à cet endroit. Il était considéré comme un coureur prometteur. Il avait été champion olympique en 1992 devant Erik Dekker.




Nous voilà bientôt en vue du sommet où nous décidons de prendre notre pique-nique. Le soleil jusque là très discret a fait une apparition timide autant en profiter. 
Après le repas, nous fonçons à toute allure vers St Girons, fin de l'étape du jour.

   Vue sur St Lizier

mercredi 28 juillet 2010

Les Pyrénées: St Lary de Soulan - Bagnères de Luchon

Après la journée de repos, nous devrions être en forme. Nous sommes quand même un peu fatigués. La veille, le repas du soir a duré un peu plus que d'habitude. Rudy nous fait une gastro et a donc décidé de rouler très relax pour ne pas hypothéquer les journées suivantes.
Nous quittons St Lary par le col d'Azet (10,7 km avec un pourcentage moyen de 7,3% et un max de 13,5% pour un dénivelé total de 780m). De là, nous avons pleine vue sur les montagnes qui entourent St Lary.

 
Du col d'Azet (1580m), vue et sur Azet et les collines de St Lary.

Après une ascension sans trop de difficultés, nous arrivons au sommet tous encore en pleine forme. Même Rudy qui a très bien géré la montée commence à retrouver ses sensations mais décide tout de même de rouler piano dans le Peyresourde. 










Le sommet d'Azet nous présente un panorama splendide que l'on ne retrouvera guère dans les ascensions suivantes. Nous profitons donc au maximum de ce magnifique panorama avant d'entamer la descente vers Genos au pied du Peyresourde.


Vue sur Genos dans la descente du col d'Azet

Nous attaquons le Peyresourde (8,3 km avec un pourcentage moyen de 7,6% avec des max à 11,3% pour un dénivelé de 629m) mais le spectacle est plus restreint ce qui semble rendre notre progression plus lente. D'ailleurs au sommet (1560m), nous nous attardons guère. Juste le temps de quelques photos souvenirs et puis nous repartons vers un endroit sympa pour le pique-nique journalier. 




Vue du sommet du Peyresourde





Alfred et François









Après le repas, direction Bagnères de Luchon d'où nous montons les 18km de Superbagnères à 1801m d'altitude (pourcentage moyen de 6,3 avec des max à 12% pour un dénivelé de 1170 m). La montée est rude accentuée en plus par une température caniculaire de 48° au soleil et dans la côte l'ombre est rarissime. Les canettes se vident au fil des kilomètres et c'est mort de soif que nous atteignons le sommet pour nous réhydrater quelque peu.



Finalement, après avoir sécher un peu nos maillots au soleil, nous redescendons à Bagnères où nous logeons au 'Castel de la Pique'.
La douche est plus que bienvenue.

mardi 27 juillet 2010

Les Pyrénées: St Lary de Soulan (repos)

Aujourd'hui, c'était repos. Le matin, nous nous sommes promenés à Lary. La dernière montée ayant été escamotée à cause du temps, je décide de la faire aujourd'hui avec Jérôme et André que vous ne connaissez pas encore. En fait, il nous a rejoint hier soir pour terminer avec nous le parcours.


Nous montons donc au Cap de Long, barrage sur le cours de la Neste de Couplan, pour atteindre le sommet après une ascension de 22,6 km sur un dénivelé moyen de 5,9% avec des maximums de12%. La montée est superbe. On peut y apercevoir au détour de certains virages les hauteurs enneigées.

 




Nous longeons d'abord le lac d'Orédon.














Enfin encore à quelques centaines de mètres en altitude soit un parcours de 5 km, nous arrivons au lac de Cap de Long où nous attendent nos amis qui n'ont pas fait l'ascension. 







Le barrage du lac




 
André, Jérôme et moi







La journée se termine devant une bonne salade et une excellente pizza. Pas tout à fait le menu du bon cyclo mais il faut bien se faire plaisir de temps en temps

lundi 26 juillet 2010

Les Pyrénées: Luz St Sauveur - St Lary de Soulan

Dès le matin, nous sommes prêts à affronter le plus haut des cols de notre périple: le Tourmalet, étape du tour de France 2010 mais déjà escaladée en 1910 sur un chemin de terre. Cela a bien changé mais il n'empêche que la montée est rude jusqu'au 2115m du sommet sur un pourcentage moyen de 7,4%et un dénivelé total de 1404 m.
Après un petit parcours de chauffe, nous attaquons le col. Enfin, on retrouve un peu de soleil et l'impression d'espace qui nous manquait jusque là.

Sommet du Tourmalet et vue sur la descente vers La Mongie.

















Nous attaquons après une petite restauration la descente pour aller chercher le pied du col d'Aspin. Le zoo s'agrandit. A la Mongie, nous croisons des lamas (!). Ils ne nous quand même pas craché dessus.
Le pied du col d'Aspin est assez facile à escalader mais le pourcentage monte quand même à certain endroit à plus de 9%. Le pourcentage moyen annoncé est de 5% pour un dénivelé de 642m et une distance de 12,8 km. Mais dans ce col, nous retombons dans le froid et l'impression d'espace se réduit sensiblement. On se croirait dans les Ardennes belges: c'est le Rosier en un peu plus long. Au sommet nous retrouvons les vaches et les chevaux habituels; Nous quittons les lieux au plus vite.


 


Le sommet de l'Aspin















Enfin, nous arrivons à Arreau où nous prenons notre pique-nique au bord de la Neste avant de rejoindre St Lary de Soulan.

  
Déjeuner à Arreau au bord 
de la Neste.


















Demain, pour notre journée de repos, nous irons au lac du Cap Long.
 

dimanche 25 juillet 2010

Les Pyrénées: Argelès-Gazost - Luz St Sauveur

Aujourd'hui, trois cols au menu dont deux en un. Ces cols ne sont pas des vrais cols en contradiction de la définition du dictionnaire à savoir qu'un col est un passage en montagne pour passer d'une vallée à une autre. Ici nous devons monter et redescendre par le même chemin. Ces cols se terminent par une station de ski donc tout à fait artificiels. Cependant de part le tracé en lacets, l 'ascension peut être comparée à celle d'une route de col.
Nous attaquons  Hautacam et dans la continuité le col de Tramassel soit une ascension totale de 17,3 km pour atteindre 1720 m soit un dénivelé de 1100 m le tout avec une brume dense qui nous empêche d'admirer le paysage.


La descente est assez rapide mais ralenties encore une fois par les moutons qui prennent la largeur de la route ce qui augmente le danger.
Au pied, à Argelés (point de départ), nous prenons la direction de Luz St Sauveur où nous attaquons la montée vers Luz Ardiden toujours avec un ciel couvert mais la brume a levé le camp. La montée est irrégulière dans ces nivelés malgré une constance dans les chiffres affichés tous les kilomètres. Chaque kilomètre nous surprend par leurs irrégularités: une moyenne annoncée de 8,5% se traduit par du 4% à du 11%. Pas vraiment une montée régulière qui use les organismes qui nous amène finalement dans une station de ski sans intérêt pour un cycliste.
Heureusement, j'ai pu prendre quelques vues particulières dans l'ascension.


Vue sur Luz St Sauveur

Demain devrait nous apporter du beaucoup mieux: le Tourmalet au programme.
Jusqu'ici les Pyrénées ne m'ont pas particulièrement séduit contrairement aux Alpes. Ici les espaces sont réduits contrairement aux vues très larges que l'on trouve dans les Alpes. C'est juste plus vert mais plus encaissé.

samedi 24 juillet 2010

Les Pyrénées: Arette - Argelès Gazost

Après une soirée attrayante et une bonne nuit, nous sommes prêts à affronter les premières grandes difficultés. C'est sous la pancarte des champions régionaux que l'étape débute.



Après seulement 15 km, nous attaquons le premier col: Marie Blanque, une ascension de 9,5 km avec un pourcentage moyen de 7,5% mais en tenant compte que les trois premiers se chiffre à +/- 3% avant d'aborder les pentes plus raides entre 8 et 11%. La difficulté est accentuée du fait que la route est pratiquement rectiligne sans possibilité de relancer dans des courbes presque inexistantes.Le dénivelé était tout de même de 715m sur une distance de 9,5km.
Mais nous y arrivons tous , chacun à son propre rythme et beaucoup de courage.


Après une descente assez technique et une longue ligne droite, nous avons en vue le col de l'Aubisque, col mythique que le tour de France n'oublie pas souvent. Le sommet se déroule jusqu'à 1709m sur une distance de 16,6km et un dénivelé de 1190m. Bien que les pourcentage avoisinent ceux de Marie Blanque, la montée est ressentie plus facile par la possibilité de trouver des virages et des pourcentages moins élevés qui permettent une relance ou une récupération bienvenue. Enfin nous atteignons l'un après l'autre un sommet masqué par la brume et balayée par un vent très frais à une température de +/- 15°.
Alfred et Christian

En haut de l'Aubisque, des chevaux en liberté se promènent parmi les touristes. On ne peut pas les approcher, par contre eux ne se gênent pas surtout s'ils sentent une nourriture possible.



Après un petit ravito, nous attaquont une descente rapide et très technique (en plus il faut faire attention aux vaches qui circulent librement) pour aller à la conquête du Soulor par la pente la plus facile soit 2,6km avec un dénivelé de 114m. L'arrêt pique-nique plus que bienvenu est prévu 4 km plus bas dans un endroit sympa aménagé à cet effet. 



Enfin, après notre collation quotidienne, nous rejoignons Argelès-Gazost où nous passerons la nuit.

vendredi 23 juillet 2010

Les Pyrénées: St Jean le Vieux - Arette

Ce matin, le temps est encore la pluie et le brouillard. Après un petit déjeuner frugal, nous prenons la route direction le col d'Haitza.Comme prévu, la pluie s'est mise à tomber. Inutile de dire que ce temps n'est pas propice et personnellement, j'étais dans un jour sans.Le brouillard était tellement épais que nous sommes passés devant la borne du col sans la voir. Par contre, les quelques spectatrices du parcours s'étaient vraiment mises en évidence.


Le col de Burdincururtcheta s'enchaînait dans le prolongement de Haitza. Cela semblait faire deux cols en un pour passer de 782m à 1135



Vincent se montrait tout aussi convaincant





Nous nous arrêtons un instant au sommet pour un petit ravito bienvenu et endosser nos coupe-vent.



Après une descente vertigineuse et assez dangereuse, nous nous présentons au pied du col de Bagargui qui nous amène à 1327m, dernière difficulté de la journée.
 


La température a encore baissé d'un cran. Alors, on enfile des vêtements chauds et nous nous remettons en route vers Larrau où nous en profitons pour casser la croûte.


Enfin, après une bonne restauration, nous prenons la route vers Arette où nous faisons étape. Nos compteurs affichait 72 Km. Cela paraît peu mais pour c'est bien assez avant ce qui nous attend encore.

jeudi 22 juillet 2010

Les Pyrénées: Biarritz - St Jean Le Vieux

Après le petit déjeuner, nous devons préparer nos vélos.
Le temps n'est pas engageant, la pluie est annoncée par un ciel très couvert qui ne nous incite pas trop à nous mettre en route mais nous sommes là pour rouler donc autant y aller.
Voici toute l'équipe sauf moi bien évidemment

Enfin, le grand départ est donné et nous voilà donc sur le chemin de l'aventure.
Direction Saint Jean de Luz pour aller faire le col de Saint Ignace (169m) pour arriver à Sare, un des plus beaux villages des Pyrénées. Sare direction le col de Oxtondo qui culmine à 602m. Jérôme nous y attend pour le pique-nique. Après la longue descente vers l'Espagne, nous montons le col d'Izpégy qui nous
ramène en France.









Après St Etienne de Bargorry, nous arrivons  St Jean Pied de Port et atteindre notre point de chute à St Jean le Vieux après une étape de 93 km
et un dénivelé de 1655 m. Pas mal pour la première journée!

mercredi 21 juillet 2010

Biarritz: départ du périple

Lundi soir, nous nous sommes mis en route vers l'aventure qui nous tend les bras depuis quelque temps.
Les Pyrénées nous attendent et au bout de la nuit et du voyage, Biarritz nous tend les bras et  apaise un peu notre inquiétude face à l'inconnu.
Même moi, c'est la première fois que je vais monter les cols pyrénéens que je ne connais que par les images des différents 'Tours de France' qui y ont fait étape.
Nous ferons tous ensemble avec nos amis canadiens de notre mieux comme nous pourrons pour atteindre Collioure dans 12 jours.
Nous avons hâte de découvrir le parcours que nous a concocté Jérôme, notre coach et amis.
De mon côté, j'essaierai de vous faire vivre au jour le jour nos expériences bonnes ou moins bonnes.

samedi 10 juillet 2010

La Stan Ockers

Depuis quelques jours, on s'attendait à une fin de semaine chaude et torride.
N'empêche, Vincent, Tanguy et moi, nous décidons de faire les 136 km annoncés de la Stan Ockers.
Pas de problème, le parcours se déroulait tout à fait normalement mais la chaleur nous mit nos bidons presque à vide après seulement 60 km. Entretemps, Tanguy s'était payé une chute dans la montée de Werbomont. Tout cela parce que, assoiffé, il voulut se désaltérer et malheureusement juste à ce moment son pied droit s'est déclipsé. 
La chaleur devenant de plus en plus forte,  nous fûmes heureux de trouver une fontaine (quelle aubaine! ). On s'y serait bien plongé mais... 
Le ravito n'était pas très loin et nous avions de quoi tenir mais nous avons été ravis de se retrouver devant un vrai ravito avec tout ce qu'il fallait. Nos amis de St Vith y auraient peut-être ajouter un 'schnapps' mais ce n'était pas nécessaire. Par contre un bonne glace.....mais avant le plat de résistance qui nous restait mieux valait ingurgiter des produits vitaminés.
Le Rosier passé, Tanguy ne se sentait pas capable d'affronter le Petit Thier et Les Forges: normal, Tanguy n'a pas beaucoup de kilomètres donc direction la vallée et rentrée par le plat.
Connaissant très bien la vielle version Stan Ockers, on pourrait regretter le remplacement d'une des plus belles parties du circuit par la montée vers Werbomont. Néanmoins, la Stan Ockers reste une randonnée remarquable de par son parcours et son organisation.

Place des Tilleuls à Filot










Ah! Que c'est bon l'eau














Le ravito
 
                                                                                                                  
                 Vincent et Tanguy vers Creppe                                                                                                                                               
Pour voir le parcours: cliquer ici

   

samedi 3 juillet 2010

Tilff: Randonnée vers les Ardennes (78 km)

Ce fut un bonheur de suivre ce parcours tout bucolique sur des routes peu fréquentées au milieu des campagnes et des bois où nous pouvions profiter de l'ombre pour nous rafraîchir de la température caniculaire.
Pour pigmenter un peu notre randonnée, Tanguy a crevé de la roue arrière. Nous nous y sommes mis à trois pour le dépanner et c'est sans encombre que nous sommes rentrés à Tilff où comme à l'habitude mais surtout aujourd'hui, nous avons pris un, deux et trois verres. Faut bien se réhydrater après une 'pédalade' très chaude.
Enfin, ce n'était quand même pas: Je reviens de l'Enfer (grand classique du cinéma).  
Des circuits comme cela, on en redemande. 


Après la crevaison
Ouf! On l'a échappé belle. Comme quoi même les cyclos chevronnés ont parfois des imprévus

Vincent  et Tanguy 
                                                                                                                                

Votre serviteur