Lundi de Pentecôte, le ciel est couvert et menaçant mais quand il s'agit de se rendre chez des amis, rien ne peut nous arrêter.
Nous savions que le parcours serait tout à fait original même pour les baroudeurs qui sillonnent la région de haut en bas. L'annonce était claire, on aurait droit à un dénivelé respectable pour des distances tout à fait accessibles.
Le Cyclo-Club Beaufays avait mis toutes les chances de son côté pour attirer le maximum de monde.
Ce sont finalement 130 participants pour beaucoup des cyclos occasionnels dans les randonnées. C'est peu quand on sait que Beaufays est un club qui se déplace en nombre et de ce fait pouvait espérer un peu plus de participation.
C'est vers le Condroz et ses routes en toboggan que Beaufays avait tracé judicieusement la première moitié de son parcours avant de revenir vers la région d'Aywaille sur les chemins des écoliers évitant ainsi soigneusement les grands axes.
Le départ se fait par la petite route de Hayen et en serpentant via Dolembreux, Betgné, La Haze on rejoint Esneux pour prendre la route et se retrouver à Berleur.
De là, on contiue vers Nandrin, Fraiture, Tavier, Xhos, Ellemelle pour rejoindre le ravito à Ouffet.
De là, on contiue vers Nandrin, Fraiture, Tavier, Xhos, Ellemelle pour rejoindre le ravito à Ouffet.
Ravito |
Ravito |
Si la première partie ne manque pas d'originalité, c'est après le ravito que le meilleur est à venir. On quitte le ravito par une petite route paralléle au grand axe Ouffet-Hody et on rejoint Anthisnes par Vien. Dans la descente, on vire à gauche vers Sart qui nous offre une vue merveilleuse sur la vallée de l'Ourthe et les carrières de la Gombe.
Revenus sur la route de Sprimont, nous virons à droite pour prendre la côte de la Miroule, ruelle étroite et très peu fréquentée qui nous amène en surplomb de la route de Sprimont. On contourne Sprimont par la rue de la Liberté (300m avec un pourcentage près des 14%) pour traverser Florzé et atteindre le sommet de la Redoute.
De là, on continue vers Playe joindre Cornémont et le zoning industriel d'où on plonge vers Beaufays pour rentrer tout en douceur avec la petite montée de Dolembreux que personnellement, je n'arrive jamais à digérer mais j'ai pu voir que je n'étais pas le seul (j'y ai vu peiner plus fort que moi).
Le parcours |
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