Au menu pas moins de quatre cols les plus élevés de la région: le Pordoï, le Sella, le Val Gardena et le Campolongo (par le côté le plus long à l'inverse du premier jour).
Nous prenons le départ à 9h pour une boucle de 52 km que nous parcourrons dans le sens des aiguilles d'une montre.
Quatre cols sont au programme: dans l'ordre, le Pordoï, le Sella, le Val Gardena et le Campolongo.
Nous attaquons le Pordoï dans le même sens que le deuxième jour: il ne nous paraît pas plus facile.
Arrêt téléphérique au Sasso Pordoï |
Avant de redescendre, il vaut mieux se couvrir pour se protéger du petit vent frais courant dans les montagnes et renforcé par la vitesse des vélos.
A mi-descente, nous obliquons à droite vers le Sella qui grimpe jusque 2240 m avec des pourcentages moyens de 8-9% sur une distance de 6 km passant de 1783m à 2240m en 6 km dans un paysage magnifique entre des massifs rocheux ressemblant étrangement à un petit Colorado.
José dans le Sella |
Vue sur Oreil et Pradei Rodella |
Du Sella, on transite vers le Val Gardena (pour un val, c'est nettement haut). De 2240 m, on descend à 1848 m pour remonter de plus belle à 2077 m en 6 km mais entre la fin du 2ème kilomètre et le début du quatrième, c'est pratiquement plat. Les pourcentages sont quand même inférieurs à ceux du Sella.
Vue sur le Brunecker Turm |
Au sommet, nous décidons de nous restaurer à un terrasse avec pleine vue sur les montagnes depuis le Gardena jusque bien loin à l'arrière de Corvara. Le monde est à nos pieds (MDR).
La descente vers Corvara est sinueuse et nous retombons en 10 km à 1506 m pour s'attaquer à notre dernier col, le Campolongo dans le sens contraire que le premier jour plus long et plus pentu. Le sommet est pointé à 7 km à une altitude de 1830 m.
Le deux premiers kilomètres oscillent autour des 8%.
Corvara: départ de la Maratona des Dolomites |
Nous sommes plus tôt que d'habitude et tant qu'à faire autant s'arrêter pour prendre un verre à la terrasse de l'hôtel qui occupe le sommet.
Heureusement qu'on avait commandé une bière moyenne sans quoi on passait au tonneau! |
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